Walhalla
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Walhalla

« We live like caged beasts waiting for the day to let the rage free. »
 
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 Catleen Pimas [Vane]

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Catleen Pimas
    Esprit Fragile

Catleen Pimas

Date d'inscription : 19/02/2011
Messages : 628
Localisation : Dans la rue


Catleen Pimas [Vane] Vide
MessageSujet: Catleen Pimas [Vane]   Catleen Pimas [Vane] EmptySam 19 Fév 2011 - 22:35

L ' I D E N T I T E



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(c)

    NOM : Pimas
    PRENOM : Catleen
    AGE : 19 ans
    RACE : Vane
    EMPLOI :  Call-girl
    LOCALISATION : Nordri
    Etat face au Virus :  Porteur sain


P O U V O I R

    /



L ' E S S E N C E



A L L U R E - G E N E R A L E

    Catleen est une jeune femme à l'allure plutôt saine, quoiqu'un peu vulgaire. Plutôt mince, son corps s'est mué cette dernière année en une silhouette de femme, avec peu de poitrine, mais surtout des hanches épanouies, sans tomber dans l'excès. Son visage, un peu rond, est encore assez enfantin, avec de grands yeux d'un vert intense et des lèvres roses un peu épaisses. De longs cheveux bruns encadrent une physionomie très douce et ouverte aux autres, quand elle est de bonne humeur. Elle s'habille généralement de tenues très féminines, qu'elle aille ou non chez ses clients. Elle possède une petite sélection de piercings qu'elle s'est fait posée pendant sa période "noire" : Au nombril et sur ses deux seins brillent trois petits anneaux en cuivre. Il est manifeste qu'elle aime se mettre en valeur, mais il ne vaut mieux pas non plus chercher les durs qui se trouvent dans la rue. Du coup, elle porte toujours une lame qu'elle dissimule généralement au niveau de sa cuisse. On ne sait jamais...



C A R A C T E R E

    Notre jeune call-girl est ce qu'on peut appeler une paumée. Fragile, plutôt instable, elle est a déjà fait un passage en désintox et il est probable que ce ne soit pas le dernier de sa vie. Elle est en permanence sur le fil du rasoir en ce qui concerne sa dépendance et la moindre émotion forte peut l'y jeter. Néanmoins, ce n'est pas une fille mauvaise, ni même stupide. En fait, elle est assez cultivée pour une jeune femme des quartiers pauvres de la Ville Basse, et elle nourrit toujours ses vieilles ambitions d'avoir un véritable diplôme... ce qui est mal parti dans son cas.
    Un des points majeurs de son caractère est qu'elle se voile la face. La réalité lui fait peur, la réalité est trop dure pour elle, alors elle se réfugie dans ses rêves, dans son monde intérieur. Il n'y a que là où elle est bien. Elle se dévalorise beaucoup, car elle n'a aucune confiance en elle-même. Elle est cependant très aimante envers tout ceux qu'elle compte parmi ses amis, et s'attache volontiers. En perte totale de repères, elle aurait besoin d'un véritable guide, ou d'une présence plus paternelle qu'amoureuse.
    Son métier ne lui plait pas, car le contact avec tout ce qui n'est pas Gabriel, son amant, la répugne assez. Elle le fait néanmoins car elle est persuadée qu'elle n'est sûrement bonne qu'à ça...



H I S T O I R E

    Le bonheur est difficile à saisir. Il possède cette caractéristique douloureuse de s'échapper, de filer entre nos doigts, une fois qu'on pense le saisir. Une fois que l'on pense pouvoir le vivre, et profiter enfin de la quiétude qu'il va nous procurer, on s'aperçoit alors qu'il n'en est rien, et qu'à jamais il faudra vivre avec ce poids – regretter de n'avoir pas su jouir suffisament de la vie alors qu'il en était encore temps.

    Non, Catleen Pimas n'était pas de ces femmes qui se lamentent sur leur sort toute la journée. Disons qu'il lui arrivait de temps à autre de prendre en secret une de ces minuscules pilules dorées, qui fondaient délicieusement sous la langue, pour planer un bon moment avant de s'endormir. Il fallait dire à la décharge de la jeune femme, âgée de dix-neuf ans, habitant dans un appartement assez sympathique pour le coin et rempli de poussière qu'elle partageait en colocation avec une autre fille, Kamilla, que son sommeil était rarement salvateur ; et qu'elle avait du mal à s'endormir, au petit matin, en rentrant de ses tournées nocturnes. Et avoir du mal était un euphémisme – trop de souvenirs dans la tête.
    Il y a tellement de choses que l'on ne peut pas oublier ! Quand votre vie est trop pourrie, que votre âme voudrait s'enfuir par-dessus une réalité trop dure à supporter, alors on essaie de s'enfuir. Loin, très loin. Loin des souvenirs heureux qui reviennent vous hanter, comme un démon qui tente de s'infiltrer dans votre cœur pour y distiller poison et souffrance.
    Il fallait dire que Catleen n'avait pas toujours été obligée de faire call-girl, et de passer la nuit avec des hommes dont elle ignorait jusqu'au prénom pour une poignée de fric. Non. Elle avait à la fois vécu tout à la fois cent fois pire et ... cent fois mieux. A l'époque bénie de son enfance, par exemple ! Oui, on pouvait dire qu'elle avait passé une enfance heureuse. Malgré les tabassages réguliers à l'école – on n'était pas dans une de ces universités protégées spécialement conçues pour les nornes, c'était un point certain – elle avait été autrefois une élève studieuse. Douée, même, si l'on en croyait ses parents admiratifs pour leur fille unique et la maitresse mandatée par l'organisation caritative volontaire pour faire la classe à une bande de gamins bruyants et peu disciplinés, qui pensaient avoir autre chose à faire de leur journée que d'apprendre et devoir se plier à "l'autorité". Elle en était si fière, à l'époque – elle incarnait la possible chance de s'élever enfin dans une société que l'on racontait extrêmement fermée, avec un diplôme dans un domaine dans lequel elle pourrait avoir sa chance. Sa chance. Elle y croyait tant, dans le deux-pièces qu'elle habitait alors avec son père et sa mère, tous les deux bien vivants et en bonne santé, qu'elle s'était même vu payer des cours particuliers – au détriment de beaucoup d'autres choses matérielles.
    Mais Lili et Gérard Pimas aimait leur fille. Leur précieux bijou aux yeux d'émeraude devait réussir, mieux qu'ils n'avaient réussi eux. Sortir de leur quartier merdique, peut-être prétendre à un logement dans les rues habités par la classe moyenne. Travailler dans un bureau, peut-être faire partie de l'organisation des Skulds, s'éloigner du danger constant des rackets, des viols, des agressions de la faune hétéroclite qui se lâchait en bandes débridées sous leurs fenêtres. Et si cela signifiait se priver de fringues à la taille de leur fille pour l'hiver, ou manger des pâtes à tous les repas, eh bien, il fallait pouvoir faire des sacrifices. Quant à l'enfant en question, elle n'était pas sans savoir ce dont il fallait se priver pour qu'elle puisse faire peut-être quelque chose qui en vaudrait la peine. Aussi y consacrait-elle toute son énergie, un peu oublieuse du monde extérieur, ou plutôt aveugle et sourde à tout ce qui n'était pas son objectif personnel. Devenir quelqu'un. L'inévitable conséquence était, bien sur, qu'elle n'avait finalement pas beaucoup d'amis – mais son univers et son cœur était déjà comblé. De la primaire, elle entra à dix ans dans une école secondaire, aidée de la bourse qu'elle avait ainsi pu décrocher grâce à ses nombreux efforts, puis, à quinze ans, renouvela cette dernière avec l'appui unanime de ses professeurs qui voyaient en elle un bon espoir pour l'avenir.
    Quinze ans. L'âge des premiers émois, des premiers bonheurs, des premières déceptions. L'heure où les œillères de l'enfance s'effacent peu à peu, elle qui n'avait jamais voulu se pencher sur l'atmosphère enfumée et pourrie d'un quartier voué à la débauche et à la violence quotidienne.C'est ainsi qu'elle fit la connaissance de Sly, un humain à l'abondante chevelure lavande qui travaillait dans un fast-food et arrondissait ses fins de mois en refourguant des pièces de récupération à des garages. La gamine Vane s'entendit tout de suite très bien avec lui. Il avait un beau sourire charmeur, plaisantait avec elle et l'emmenait visiter Nordri avec un enthousiasme d'adolescent.
    Mais toute bonne chose à une fin, n'est-ce pas ? C'est ainsi qu'un soir, quelques mois après ses seize ans, en rentrant d'une virée à moto enivrante où l'inconsciente avait oublié jusqu'à l'heure qu'il pouvait bien être, que Catleen allait apprendre un évènement qui allait changer sa vie.
    Ah les souvenirs... ils revenaient toujours où l'on s'y attendait le moins. Des années plus tard, elle se revoyait, poussant la porte de l'appartement ouvrier, avec un sourire dessinée sur sa figure enfantine jusqu'aux oreilles. Son expression qui changea subitement, en s'apercevant que quelque chose ne collait pas. Il régnait un silence de mort à la maison, à l'heure où un CD de rap tournait toujours dans l'auto-radio, et où des pâtes devaient répandre leur bonne odeur de nourriture jusque dans le couloir. Mais... il n'en était rien. La lumière était éteinte, ce qui n'était pas non plus normal. Une étrange inquiétude avait saisit sa gorge en voyant les chaussures de sa mère dans l'entrée, et ce fut d'un pas précipité qu'elle mit les pieds dans un salon/chambre à coucher qui sentait la fumée froide d'une cigarette.
    Assise à fumer, une silhouette tassée se découpait dans l'ombre, qui se tourna vers elle, lentement.

    - "Maman ! Qu'est-ce qui s'passe ?"


    Oui, la panique l'avait submergé à ce moment-là. Jamais encore Catleen n'avait vu sa mère pleurer, et les larmes de sa génitrice furent un peu trop à supporter pour une jeune fille fragile qui avait bâti son avenir sur l'amour profond et le soutien que lui avait toujours procuré des parents profondément désireux de faire son bonheur. Lentement, elle s'était alors dirigé vers sa chambre, pour y pleurer une nuit entière sans trop savoir ce qui allait se passer le lendemain.
    Son père était mort. Secouée comme jamais, la jeune fille n'avait alors pu s'empêcher d'imaginer des heures durant l'horrible mort qu'avait connu Gérard, écrasé par une tonne et demi de béton qui lui était tombé sur les jambes dans l'après-midi. Il s'était peu à peu vidé de son sang, en poussant des cris horribles et plaintifs – l'Ase responsable de sa mort avait été exécuté dans les dix minutes suivantes. Une erreur, eh bien ! Plutôt un meurtre aux yeux de l'adolescente, qui se persuada bientôt que ces machines ne méritaient absolument pas le tissu dont on les habillait. Non, eux et leurs pouvoirs étaient dangereux, nocifs pour la société. Qu'ils crèvent tous ! Dans une crise de folie, la gamine avait saccagée sa chambre, avant de se reprendre. Respirer. Respirer. Là était la clé.
    Un peu calmée, elle s'était mise en quête d'un travail dès le lendemain. Il fallait payer leur vie à toutes deux, et avec la mort d'une force de travail, les fournitures scolaires devenaient un luxe que les deux femmes ne pouvaient plus se permettre. Oui, le temps de l'école était fini, et ce fut dans la réalité qu'elle dut désormais se plonger. Grâce à Sly, notre jeune étudiante devint caissière à mi-temps, tout en cherchant un autre travail pour compléter une journée entière, qu'elle trouvait ça et là, au gré des besoins et de ce qu'elle acceptait de faire. Ce n'était plus le moment de pleurer.
    L'alcool, les hommes, les bars minables. La poussière et la rue, et la fatigue, et la haine de son prochain, pour tous ces patrons qui vous demandaient de coucher contre un taff mal payé. Qu'ils aillent tous au diable.

    Fallait-il céder ? Elle n'avait pas vraiment le choix – sa mère avait arrêté de travailler, pour s'absenter des nuits entières on-ne-savait-où. Comment en était-on arrivé là ? Si sa mère avait commencé par boire en cachette, elle ne se cachait plus au bout de quelques semaines, et des disputes terribles déchiraient alors une famille autrefois si unie. Mais il fallait poursuivre les efforts. Elles allaient s'en sortir, elle allait trouver LE job qui rapporterait beaucoup d'argent. Et elles vivraient de nouveau heureuses, avec ses études et son copain. Il fallait y croire !
    En rentrant chez elle, Catleen prit rapidement l'habitude de faire la chasse aux bouteilles, pour casser celles qui étaient pleines. Pourquoi n'arrêtait-elle pas pas ? Elle ne pouvait pas voir que sa fille avait du mal à s'en sortir seule ? De rage, l'adolescente devint maussade et violente. Pour échapper un peu à l'enfer qui s'instaurait à la maison, à cette peur omniprésente de voir encore sa mère ivre morte affalée dans la cuisine ou sur le plancher, elle se mit à expérimenter diverses drogues légères que lui procurait son petit ami avec beaucoup de modération. Des camées, il en voyait assez dans la rue pour éviter que sa jolie nana finisse dans le caniveau. Lui, il la préférait comme autrefois, studieuse et optimiste – mais il fallait avouer que c'était peine perdue ces temps-ci.

    Il finit par la quitter deux mois avant ses dix-sept ans, soit deux semaines après la mort de sa mère. Retrouvée dans un bouge situé tout près du Wotan, elle y vendait apparemment son corps pour quelques litres de sa drogue liquide quand elle n'avait plus assez d'argent pour s'en procurer dans les magasins. Elle s'était jetée d'une haut d'une fenêtre pour s'écraser en bas, trois étages plus bas.
    Plus moyen de discuter avec sa précieuse Catleen. Elle voulait oublier, elle ne désirait pas voir la vérité. Le dealer l'aimait trop pour être l'acteur de sa destruction : il n'y avait plus que ça à faire. Décamper avant qu'elle ne finisse comme sa mère.

    Ah, la Loi. Le Monde Parfait dont la radio parlait n'existait pas. Non, les rêves de Catleen étaient brisés. Jamais elle ne pouvait avoir l'espoir de reprendre la vie insouciante et heureuse d'autrefois. Une vie qui n'était pas parfaite, mais qui suffisait à son entier bonheur. Et tout avait été balayé par ces chiens, par ces machines d'Ases. Jamais elle ne leur pardonnerait.
    La jeune fille se vit obligée de déménager, pour louer un studio dans le quartier de l'Orlög. Moins cher que celui qu'elle partageait avec ses parents, il avait le net désavantage d'être quasiment déserté des services Skulds qui maintenaient une autorité contestée parmi les gangs et les paumés qui trainaient dans la Ville Basse. Ce fut le début d'une période trouble, désespérée, atroces instants où elle s'enfonçait chaque jour plus profondément dans la drogue et la débauche aveugle, s'acoquinant avec divers dealers, pour leur soutirer toujours un peu plus de ces petites pilules qui procuraient l'oubli, en l'aidant à se réfugier au cœur des espoirs qu'elle refusait de voir s'enfuir.
    Le monde était devenu sans saveur. Médiocre.
    Et ce fut justement pendant une de ces journées morne et triste qu'un évènement se produisit. Non pas l'habituelle rencontre avec un de ses nombreux dealers, qui l'avait soumise à un passage à tabac en règle pour la persuader de trouver rapidement du fric pour le payer – ce qui était sans grande surprise... même si la souffrance était toujours aussi vive après qu'on ait vécu trois ou quatre fois déjà des scènes similaires. Disons plutôt, l'étrange proposition d'un homme qui portait le nom d'un de ces anges des religions d'autrefois, Gabriel, qui disait vouloir prendre soin d'elle.
    Et à dix-sept ans et demi, elle n'avait pas la force de refuser. Au contraire, il fallait saisir cette main qui se tendait, même si elle ne comprenait pas très bien contre quoi. Il la plaça pendant trois mois dans un service de désintoxication, et lui trouva un logement décent à deux rues de l'ancien qu'elle occupait, à deux pas de ces fameuses salles qui abritaient des combats clandestins. Pas très étonnant, puisqu'elle savait désormais qu'il en était l'instigateur. Elle lui devait tant ! Il lui fournissait un travail, un endroit sûr où vivre, avec une colocataire qui était aussi son amante, mais qui avait l'air assez sympathique au premier abord.
    Catleen se sentit revivre, elle qui avait tant souffert. Il était son sauveur, son bienfaiteur ; en contrepartie, elle pouvait bien lui donner jusqu'à son âme.

    Elle qui était si pathétique, si imparfaite, elle pouvait enfin émerger de ce long cauchemar. Et un an et demi après qu'il l'ait receuilli, elle pouvait enfin recommencer à espérer que la réalité redeviendrait celle à laquelle elle avait toujours aspiré.



L I E N S


    Gabriel Claw. Son proxénète et amant.Elle le voit comme son sauveur. Elle accepte tout de lui, même les coups qu'elle s'imagine mériter. Elle est totalement dépendante de lui.
    Kamilla Dalek. Sa co-locataire et la deuxième maitresse et call-girl de Gabriel. Elle en est jalouse, pas seulement à cause de Gabriel mais aussi parce que Kamilla est bien plus forte qu'elle ne le sera jamais, elle l'admire au fond. Catleen sait trop qu'elle n'aurait jamais son courage. Le pire c'est que Kamilla essaie de l'aider à s'affirmer, mais sans grand succès.
    Heleen Frost. Elle l'a croisée plusieurs fois dans la Ville Basse et les deux jeunes femmes ont sympathisé. Mais Catleen ne se doute pas de ses origines bourgeoises.
    Skeet Gilford. Un client plutôt régulier qui a un gros faible pour elle, et pour qui elle ressent quelque chose, même si elle refuse de se l'avouer. Elle ignore que c'est un Mamba...


    Précisions ou informations complémentaires sur votre personnage : /



L ' A F T E R


    Nom de l‘avatar : Ana de Armas

    Comment avez-vous connu Walhalla : Un peu par hasard ^^

    Présence sur le forum : Régulièrement, cela dépend des semaines.




Dernière édition par Catleen Pimas le Lun 21 Mar 2011 - 7:22, édité 3 fois
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Swan Black
    Big Boss des Black Mambas.

 Big Boss des Black Mambas.
Swan Black

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Faculté : Empathie
Maîtrise : Presque parfaite


Catleen Pimas [Vane] Vide
MessageSujet: Re: Catleen Pimas [Vane]   Catleen Pimas [Vane] EmptySam 19 Fév 2011 - 23:20

Bienvenue Miss,


Je pense que tu as très bien assimilé l'univers et le PV, lui avoir rajouté une certaine haine pour les mutants l'épice sûrement un peu. D'autant qu'elle en fréquente sans le savoir. Catleen Pimas [Vane] 643143
En bref, j'ai rien à redire et je t'ouvre officiellement les portes Catleen.
Je t'ai fait deux vavas en plus, je vais en mettre un dans la fiche du PV et changer le nom. Elle est très mignonne cette petite.
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Amuse-toi bien parmi nous et fais attention aux bas-fonds, on sait jamais sur qui on peut tomber.
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Diane Ambrose
    Dame de Glace

Diane Ambrose

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Messages : 1083
Localisation : Nordri

Emploi : Skaldi
Faculté : Une froideur à toute épreuve.

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MessageSujet: Re: Catleen Pimas [Vane]   Catleen Pimas [Vane] EmptySam 19 Fév 2011 - 23:52

Bienvenue au Walhalla,

je ne suis pas sans apprécier tes avis sur les mutants.
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Thalie Crane
    Téméraire Utopiste

Thalie Crane

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Messages : 1635
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Emploi : Journaliste à la Voix de Thor

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MessageSujet: Re: Catleen Pimas [Vane]   Catleen Pimas [Vane] EmptyDim 20 Fév 2011 - 0:44

Bienvenue & bon jeu sur Walhalla !
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Catleen Pimas
    Esprit Fragile

Catleen Pimas

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Messages : 628
Localisation : Dans la rue


Catleen Pimas [Vane] Vide
MessageSujet: Re: Catleen Pimas [Vane]   Catleen Pimas [Vane] EmptyDim 20 Fév 2011 - 7:56

Bonjour !

Et merci beaucoup de votre gentil accueil ! 🐱

Ils sont super-beaux ces avatars ! Catleen Pimas [Vane] 18060 *en profite pour en mettre un nouveau de suite* ^^
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Jalandra Gair
    Ase Infiltrée.

Jalandra Gair

Date d'inscription : 16/08/2010
Messages : 716
Localisation : Le Ragnarök.

Faculté : Télépathie.
Maîtrise : 3/5


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MessageSujet: Re: Catleen Pimas [Vane]   Catleen Pimas [Vane] EmptyDim 20 Fév 2011 - 9:24

Bienvenue Catleen !
J'te souhaite de passer du bon temps parmi nous... Bon choix de PV aussi ^^
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MessageSujet: Re: Catleen Pimas [Vane]   Catleen Pimas [Vane] Empty

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