Walhalla
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Walhalla

« We live like caged beasts waiting for the day to let the rage free. »
 
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 Tiziana Van Altenstaufen -

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AuteurMessage
Tiziana Van Altenstaufen

Tiziana Van Altenstaufen

Date d'inscription : 28/07/2011
Messages : 22
Localisation : Austri

Emploi : Présidente - Directrice générale de Quadra Electricity.

Tiziana Van Altenstaufen -  Vide
MessageSujet: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptyVen 29 Juil 2011 - 19:48

L ' I D E N T I T E



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...

    NOM : Van Altenstaufen
    PRENOM : Tiziana
    AGE : 41 - Oh - Question indécente !
    RACE : Vane Vaccinée
    EMPLOI : Officiellement - Présidente, Directrice Générale de Quadra Electricity. Officieusement Membre des 6.
    LOCALISATION : Austri



L ' E S S E N C E



A L L U R E - G E N E R A L E


    Sensuelle Froideur, qui te plonge dans une inévitable torpeur. Pourquoi ton regard inquisiteur me témoigne autant d’aspect de ta personnalité - après, quelques uns de mes mouvements singuliers ? Serait-ce la rondeur de mes hanches, ou la cambrure de ma chute de rein ... saillante - emprisonnée dans ce tailleur opaque, cintré - qui éveille tous tes sens ? Faisant sombrer tous les remparts que tu dresses habituellement devant Toi ; méfiant, froid, distant ?! Tout en moi éveillera en toi, un extrême silence, un profond engourdissement. J’empoisonne ton environnement. Je n’ai jamais besoin de hurler pour me faire entendre - il me suffira de te fixer pour te faire rompre, je n’ai rien de particulièrement redoutable sur le plan physique. Ma foi, tu n’as rien à craindre, à par un éventuel coup de talon aiguille dans ton lobe frontal - pratiquement rien, des broutilles. Je n’ai pour armes qu’une voix suave et un regard noir, froid, létal. Hors de question de me considérer comme une femme pleine de vulgarité, je suis pointilleuse - il n’y a pas de place pour le mauvais goût, pour l’atrocité dans mes tenues vestimentaires. Je sais engendrer de l’envie, du désir à travers une once inestimable de Classe.

    .. Comment dire non, à ce regard sombre - l'espace d'une seconde indiscret - qui sait si bien caresser son interlocuteur, à cette bouche qui prononce d'une manière si intime le nom - voir parfois le prénom - de la personne qui se tient près d'elle, à ses mains agiles et graciles qui jouent avec les boutons de ton veston - qui s’enroule autour de ta cravate pour te tringler. Tout dans son attitude montre à quel point elle maîtrise l'espace dans lequel elle évolue. Elle dégage une certaine assurance, vorace, c’est une certitude, elle exhale de l’avidité et une certaine forme de dureté. Une froideur inexorable, palpable - en temps normal & une chaleur comparable à l’étau brûlant du fer sur une peau calcinée - en temps de guerre, dans ses terribles moment de colère .. elle suinte l’odeur terrible de la mort, de l’horreur, de la douleur ! C’est un corps muni d’une volonté empoisonnée - qui fait tout son charme, toute sa puissance, qui vous assigne à la plus grande vigilance .



C A R A C T E R E

    Froideur. J’agace, l’inexistence émotionnelle que j’exhale sur mon passage n’est jamais appréciée à sa juste valeur. Je parle peu - & lorsque je m’y attèle ma langue est aussi aiguisée qu’une lame et aussi pénétrante qu’une balle. Les dégâts ont d’impact que la hauteur de votre égo. D’une politesse religieuse, de prime à bord je suis une femme d’affaires - redoutable - qui ne badine pas avec les convenances, ni les codes sociaux. J’y tiens, ou du moins en apparence. Cérémonieuse et raffinée, a vous d’estimer les touches d’ironie qui se perdent dans mes monologues. Je suis d’une douceur étonnante et d’une violence impalpable - insaisissable, inconnue. Je n’ai pas une partielle maîtrise de moi-même, non - à peine. Chez moi, elle est complète ! Il n’y a pas de place pour le hasard, tout est soumis à un schéma rigoureusement suivi à la seconde. Rationnel. Il n’y a pas de place pour le bordel - tout est ordre, stabilité. Autorité ! L’exécution ne connaît pas l’improvisation. Les hommes, j’en use - je canalise leur force à mon intérêt .. Tout n’est qu’une affreuse équation dans laquelle je me joue des variables et où la résolution ne dépend que de ma volonté.

    Chaleur. Je suis un monstre vorace d’ambition. Il y a inéluctablement en moi quelque chose de primitif, de l’ivresse, un terrible besoin d’évolution qui me pousse jusqu’au limite de la raison.
    Elle « désigne par définition la dissolution de l'individuel dans le tout de la nature - ou de son originel » - qui comporte tout ce qui est bancale, erratique, instable, insaisissable, sensuelle, inspirée, fougueux, vio-lent – Ambitieux. Elle est leur malédiction ; cette goutte de Dionysos dans ce sablier du temps nommé Apollon. Elle est cette impulsivité qui pousse à faire des carnages .. L’accomplissement de ses projets n’a de borne que ses valeurs. Par delà le bien & le mal .. Elle a conscience que pour laver cette humanité de sa putride essence, il faudra en saigner, les tuer, les écorcher - sans pitié ! Il n’y a pas de place pour le sentiment dans son univers.



H I S T O I R E


    Je me souviens de la nuit de ma naissance ; il faisait nuit noire ! Il faisait orage. Le temps était - malade - prétendaient-ils. Dés les premières heures - j’ai percuté que peu d’individus savent apprécier la noirceur du mal ... Il était déjà question d’affirmation, d’ambition, d’acceptation. Je n’étais pas forcément ce dont Père souhaitait, une étrangère, un être du sexe féminin. Que voulez-vous - la vie en a décidé autrement. J’étais dores et déjà cette petite plaie qui s’installe sur votre lèvre et s’infecte .. Sur laquelle votre langue se réjouit de passer encore & encore - sans relâche, avec pour ambition de cicatriser - mais pour pulsion d’arracher, de mordiller. Entre raison & pulsion - nous savons qui remporte le pari. Il était déjà question pour moi d’être un élément de pression pour mon environnement. Enfant unique - j’étais sujette à mon caractère volcanique - capricieux et aux exigences de mon entourage vis à vis de mon avenir - qui était déjà tout tracé. Il n’y avait pas de place pour les ratés, pour le sentiment, pour l’aléatoire, pour le hasard. Non. Tout était soumis aux codes de notre société élitiste. Reproduction sociale constante, reproduction vivante d’âmes surévaluées - biaisées, niaises - plein de stupidités, de corruptions, pas le moindre filament directeur. Que dalle. Un pseudo intérêt général défendu -, mais moi je ne percevais déjà que les « intérêts » personnels de ses bouffons qui n’avaient de cesse de faire évoluer la société que dans l’immédiat - rien de glorieux, rien d’absolu. Absolument rien sur le long terme ... Demain nous sommes morts - ne l’ont-ils pas saisis ? Que restera-t-il de leur fantôme ? Des critiques sur leur psychique égoïste ? De l'intéressement, du zèle - pour servir une vermine d'hérédité. Je comptais tirer aux moins quelques ficelles. Me faire quelques larbins dans la Haute, si tu me suis ... A cette époque là - ce n’était que des pronostics sur mon avenir. Mais ma vision du monde était déjà faite -, il n’y avait pas de place pour le Loisir, il n’y avait de place que pour l’instruction, l’évaluation, la progression ! La Réflexion.

    Paisibles mais exigeantes, furent mes années d’enfance - de même pour l’adolescence. Je n’avais rien de particulièrement différente des autres - de l’extérieur je n’étais qu’une adolescente de 17 ans avec du plomb et de l’ambition dans la cervelle. Un extrême besoin d’évolution, un espoir en l’humanité - qui ne se fera pas sans une approche mercantile de ma part. J’apprivoise la « lex » - car, tout n’est que barrière faillible dans notre système - apprendre à les déjouer m’enchantait, me distrayait. Il fallait être ce masque fourbe de destruction - religieusement respectueuse du droit.
    Pratiquement une vocation - je n’ai pas eu à réfléchir quant aux études à suivre - c’était plus qu’un objectif d’avenir - c’était une sorte de passion. Un double cursus en Droit et Finance - avec l’engouement de mes chers et tendres parents et me voilà déjà à l’Université. Je n’ai pas la sensation particulière d’avoir profité de la vie comme vous - je n’ai pour souvenir que des épaves d’ouvrages dans ma tête - qui illustrent les périodes de ma jeunesse. Mes 18 ans - du Shakespeare. Mes 14 ans du Weber etc. Des hommes qui ont marqué ma vie ... Très poétique n’est-ce pas, ça en serait presque romantique. Non, pas vraiment au fond - c'est relativement Kitch.

    En parlant de Romance, je n’aurais jamais aspiré à rencontrer quelqu’un qui me convienne et qui puisse m’aimer pour celle que j’étais : déjà d’une certaine manière redoutable, exigeante. Je n’étais pas sûre d’avoir assez de tolérance en moi pour faire de la place à qui que se soit. Et pourtant ... Vous vous êtes manifesté un beau jour - à l’aube d’une nouvelle année universitaire - l’avant dernière. Cette année n’a pas le goût amère que j’aimerais lui attester - au vu de l’échec que tu représentais .. tu as le goût agréablement terreux de l’évaporation de la terre sous l’impulsion d’une pluie orgueilleuse. Tu étais exactement ce qu’il me fallait, ce que je pouvais un peu « admirer » ; - ambitieux, pas vraiment d’une beauté percutante mais muni d’un charme indéniable - un regard malicieux - un sourire caustique. Au début tout n’était qu’un jeu subtile d’ignorance, de dédain, nous nous faisions presque violence pour nous échapper - à croire que notre trop grandes proximités d’idées nous effrayaient.

      -Parce qu'à te voir, tu sais, il me vient des envies, des envies de me servir de toi, de te soustraire de ton rang de sujet, te faire Objet. T'attacher, t'ouvrir tout entier, te piquer avec une épingle, ou te singer, te dépecer. Tu m'agaces, tu comprends, quand je te vois, je vois rouge, tu n'es à toi seul qu'un concentré de provocation - de tendre tentation. Je me doutais, il y en a qui sont nés pour exciter, harceler, obséder, exacerber, rendre fou. Ces êtres-là existent, chacun est amené à rencontrer le sien ... -
      --------------______________Je n'aspirais qu'à une chose, que tu sois le mien.


    L’engagement était telle une évidence - dans une famille telle que la mienne nous n’y échappons point et tu tombais plus que bien - à point. Nous étions d’une étonnante compatibilité. Mère me prédisait un mariage heureux, des enfants - de l’Amour. Pas un maudit mariage d’intérêt entre bourgeoisie rouillée, encrassée dans leur merdique antiquité. C’était idyllique, malgré cette once de pessimisme en moi - qui me tenait sur mes gardes, à l'affût, méfiante ...Aussi futile soit-elle, elle demeura tout le temps de notre mariage, elle rôdait ... Pourtant, paradoxale ..

    A cette époque - je ne concevais pas la vie sans ta personne. Tu étais devenue nécessaire, aussi important à ma vie qu’un organe interne - tu alimentais mon cœur à chaque seconde, chaque jour d’un meilleur élément, de quelque chose de supplémentaire dont j’étais dénuée auparavant. Je me saurais évaporer si tu t’en allais - je le pensais sincèrement. Je m’accrochais à ton existence pour mieux me sentir exister - je me sentais pour la première fois en vie. Je percevais un peu mieux le sens qu’avait les choses. Je palpais la puissance qu’avaient les sentiments - aussi positif que négatif puissent-ils être. Nous étions bien plus fort à deux - tous-puissants ! Tu me rendais meilleure, je te rendais les choses possibles - au-delà même de ton imagination - j’enfreignais ta morale & nous évoluions.

    Je me souviens encore de ton souffle, de ta voix qui me susurre que je suis l’Unique, que tu voyais en moi l’absolu besoin d’avoir un « héritier ». Je ne vivais plus que pour ça, toi, vous. Cette petite chose à laquelle nous espérions plus que tout ... Un être qui prendrait une partie de toi - un peu de moi. Quelqu’un à aimer - quelqu’un à laisser derrière nous sans crainte d’être effacé. Mon Cœur - ne battait que pour Toi, pour notre futur enfant. Malgré toute la passion qui ourlait nos ébats -, malgré tout l’amour qui animait nos cœurs - les années passent et il faut se résoudre à l’évidence - j’étais dans l’incapacité de satisfaire la nature. En tuant ton espoir à petit feu - je me suis consumée en silence, engorgée de ressentiment - je m’en voulais plus que tout - d’avoir mis un terme à toute cette chose qui nous englobait. Il n’était plus question de famille, plus question de notre avenir qui se voyait amputé d’un membre nécessaire à notre union. Il aurait été l’illustration, la matérialisation de notre passion, de notre amour .. l'aboutissement de nos vies. De ce que notre mariage représentait à mes yeux. A jamais - uni, nous étions Le couple indivisible - l’idéal aux yeux de tous : la réussite, l’amour ... L’enfant absent ? Une faille au fabuleux système que nous avions constitué.


    Ce qui me tuait n’était pas d’avoir à te dire Je T’aime, mais bien plus d’admettre qu’un homme puisse suffisamment me connaître pour éprouver envers moi autant d’amour, autant de tolérance - tout ce dont j’étais dénuée .. de la tolérance. Je tenais bien trop à mes idées -, d'ailleurs, serait-ce cette variable qui a briser tes mots doux à mon encontre ? Ou cette incapacité que j’ai eu à engendrer notre progéniture ? A cette époque - s’est tombé trop vite, trop fort. Tel un bain d’horreur, un bain brûlant de venin dans mon esprit détruit. Amoindri. Je venais de renoncer à cette chose à laquelle je tenais .. Procréer. Mon cœur s’est dés lors écorché, mon âme l’a comme tout bonnement anéanti - tout ce que je sentais c’était ces contractions brutales qui le faisait dégorgé du venin amer et corrosif pour mon environnement - y compris pour Toi. Je suis dés lors devenue une femme différente, à mesure que tu t’éloignais je sentais les choses filer vers une inévitable déchéance - qui avait pour échéance ma prise de conscience à ton égard. En parallèle du deuil que je m’obligeais à entretenir - tu te détruisais à ton tour - & avec cela tous nos projets, toutes nos affaires financières. Je me souviens encore de ton bras droit qui me chuchota : « Il faut agir Madame. ».

    Ton mal être c’était bien trop mal illustré à mon goût - avec insistance, m’étant en danger tous les monopoles que nous avions peu à peu érigé et ceux que nous souhaitions entreprendre - avec de facétieuses stratégies. Sur quelques mois - tu avais tout liquidé. C’était tout ce qui me restait - tu peux bien le comprendre Mon Amour - il n’y avait plus de place pour les sentiments, le cœur - après une visible faiblesse de ta part. Tu n’avais plus ta place. Ça sonnait telle une évidence pour moi - et mon moteur - qui n’était plus entraîner par le Cœur, mais par une vorace Raison ! Un besoin de possession, de domination ! Du jour au lendemain - tout s’est envolé, je ne me doutais pas qu'une telle chose puisse arriver - qu’on puisse avoir la sensation de ne plus rien éprouver émotionnellement - pour un être qu’on s’est damné à aimer précédemment ! Il ne m’en fallu pas plus - je ne me faisais pas d’illusion. Tu étais de trop, tu étais l’échec, tu représentais la faiblesse .. Tu ne tenais même pas face à un obstacle - alors à quoi aurais-tu servi dans ce que je voulais mener ? Même pas de bouclier ! Décidément, nous étions différents .. Tu n’avais pas les nerfs solides, ni même une approche suffisamment professionnel pour faire la part des choses. Tous les enfants à venir - valaient bien plus qu’une seule de nos progénitures défectueuses qui ne voulaient pas nous parvenir ... Elles auraient sûrement été à ton image : faibles et incontrôlables.

    Je connaissais ton amour pour l’art, l’antiquité. Nos journées tournaient autour de rituel - tel le service du thé. Ta mort fut à l’image de tes passions : langoureuse et impalpable, inexorable - passée, bonne pour un vieux musée. En quelques mois - je t’avais empoisonné. Tout le monde a cru à une simple rupture de l’anévrisme - lié à la pression des cours financiers probablement. C’était un prétexte parfait.

    Je n’avais pas de deuil à te porter. Je l’avais déjà fait il y a des mois en quelques jours - je m’étais faite à l’idée que tu n’existais plus pour moi. Tu n’étais qu’un frein, un obstacle, une plaie à mes projets, à mon travail ! Je me souviens encore des condoléances prononcer par ce Faust - il avait presque pitié de moi tant je jouais si bien la veuve éplorée - effondrée, esseulée. Déjà à cette époque je tentais de mener à bien notre intégration au sein de l’Hugr, en rachetant des parts au fur & à mesure que certains associés se délestaient des leurs ... pour des raisons mystérieuses. Je les incitais carrément à me les vendre par diverses manières - menaces - ou autres. Tout était bon pour avoir ce dont j’avais besoin pour le bon fonctionnement de mes projets - réhabilité tout ce système. L’argent est le nerf de tout, le carburant d’absolument tout organisme, qu’il s’agisse de C.O.S ou de l’Hugr ou encore des 6. Je les tenais tel qu’il le fallait - il me devait de l’attention, de l’écoute et mon avis comptait plus que tout.

    Je ne vais pas me répandre au sujet de mon rôle au Quadra Electricity. Tout le monde sait à présent - à l'heure actuelle - que j’en suis l’unique détentrice. J’ai le monopole. Bien sûr - ça ne s’est point fait en quelques années. La lutte fut acharnée, farouche -, mais les résultats sont là. Le point fort de ce groupe est certainement de produire et de redistribuer soit-même l’énergie - sans le moindre intermédiaire qui prendrait la moindre marge - sans même avoir à subir les cours fluctuants de la bourse - pour lequel le prix n’y était par conséquent que très peu sensible.

    Ma fierté est bien plus dans le fait d’avoir infiltré de nombreux organismes. L’Hugr depuis le départ de ce cher Faust - qui me donna du fil à retordre - je l’admets, et qui m’enquiquine encore aujourd’hui. Depuis son départ en « retraite » - à raison de pression financière et d'éclaboussement - de menaces de révélations de secrets honteux - j’ai pu y installer l’une de mes précieuses créatures. Félix. Ce n’est pas le seul. Ils sont répandus un peu partout - tel des fouines, des pantins dont je tire les ficelles. Aussi bien au C.O.S, qu’ailleurs.

    Ce qui est le plus romanesque dans l’histoire est probablement le double-jeu que j’établis avec les 6. Six hommes - soi-disant. A la moindre réunion & depuis le début - j’ai opté pour un subterfuge - je modifie ma connexion vidéo afin de projeter un double masculin. Pourquoi ? Pour n’avoir aucune preuve en ce qui concerne mon implication avec ces gens ? Vous dites-vous. Mais ça n’est point tout ... Le vice est poussé au-delà de tout ce que vous pouvez imaginer. En attendant, cette organisation me permet d’atteindre certains objectifs - ils ne sont qu’un outil dont j’use à ma volonté & à ma manière ..



L I E N S

    (N'hésitez pas à demander à nos membres un lien par mp avant la rédaction de votre fiche. Au Walhalla, il existe une multitude de gangs, voyez également avec leur chef. Si vous êtes un timide assumé, servez-vous de nos nombreux PV et PNJ. Ils sont aussi présents pour cela.)

    ► Félix - Mon précieux, au plus profond du trou j’ai perçu en lui l’ambition dévorante qui s’acharnait à le détruire dans le mauvais sens. Je lui ai donné sa chance. Je ne le considère point comme mon fils, ni même comme un ami, ni même un collaborateur. Ça n’est qu’un outil - qui de part sa vigilance, et son intelligence me permet de déjouer certaine fourberie de l’Hugr sans ma présence, ni la moindre assistance. Il est bien beau d’avoir des hommes de mains, des bras droits, encore faut-il qu’ils puissent mener à bien vos idées sans avoir à leur coller une oreillette et à leur chuchoter tout bas - quoi répondre .. à chaque instant.

    ► Faust - Depuis son départ de l’Hugr je dors probablement mieux la nuit - il m’est bien plus aisée d’orchestrer le fil conducteur de mon projet dans son ancien sanctuaire. Malgré toute l’animosité qui peut bien régner lors de nos discussions, toute la tension qui s’en dégage .. Je dois admettre que c’est un adversaire avec lequel je tiens à avoir des relations régulières et amicales - courtoises. Je me doute cependant - qu’il en sache bien plus qu’il en faut à mon sujet - ce qui a le dont de m’agacer...
    C’est sûrement l’un des seul homme du Quadra qui peut encore s’avérer précieux .. Certainement vis à vis de ses connaissances ..





    Précisions ou informations complémentaires sur votre personnage : Redoutable ?



L ' A F T E R


    Nom de l‘avatar : Eva Mendes

    Comment avez-vous connu Walhalla : ........

    Présence sur le forum : Selon l’inspiration ....




Dernière édition par Tiziana Van Altenstaufen le Dim 31 Juil 2011 - 17:38, édité 2 fois
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Swan Black
    Big Boss des Black Mambas.

 Big Boss des Black Mambas.
Swan Black

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Faculté : Empathie
Maîtrise : Presque parfaite


Tiziana Van Altenstaufen -  Vide
MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptyVen 29 Juil 2011 - 21:43

Bienvenue Tiziana,


Voilà la Vipère des 6... Je ne trouve même pas de quoi pinailler, superbe fiche pour un beau personnage.
Pour la forme, je veux juste l'aval de Cypher puisque c'est son PV.
Ah et juste un détail qui me chiffonne, j'aurais du en parler à Cypher, j'aurais bien aimé que vous la basiez à Westri ou Austri, pour la Quadra Electricité aussi d'ailleurs. Du moins le siège social. Parce que si elle est basée à Nordri, elle connait forcément Heck Black ainsi que les autres Skaldis de Nordri, ça fausse un peu la donne. Et puis les autres villes ont besoin d'être plus développées. Dites-moi ce que vous en pensez... Tiziana Van Altenstaufen -  18060
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Tiziana Van Altenstaufen

Tiziana Van Altenstaufen

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Emploi : Présidente - Directrice générale de Quadra Electricity.

Tiziana Van Altenstaufen -  Vide
MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptySam 30 Juil 2011 - 13:20

Bonjour Monsieur Black .. * Le toise .. *

Nous nous installons donc à Austri avec l'amont du Robot de Faust - mais, il est évident que nous rayonnons suffisamment pour avoir une emprise non négligeable sur les autres grandes villes ..


( Merciii Swan !! ^^
J'ajouterais certaines parties à mon histoire probablement dans les heures à venir .. elles n'auront aucun impact sur l'action - péripétie, mais plus sur la personnalité de Tiziana. )
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Tiziana Van Altenstaufen -  Vide
MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptySam 30 Juil 2011 - 14:21

Ahah! Reconnue.
Bienvenue.
Bienvenue.
Bienvenue.
Électrocution et malédiction sur ta petite personne...
___________________________________________... Et une danse, aussi...
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Thalie Crane
    Téméraire Utopiste

Thalie Crane

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Emploi : Journaliste à la Voix de Thor

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MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptySam 30 Juil 2011 - 19:59

Bienvenue ! Et bien très jolie fiche, voilà un personnage haut en couleur Cool (pour rester polie)

Hâte de te lire ! (Serait-ce un double compte ? Rolling Eyes )
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Tiziana Van Altenstaufen

Tiziana Van Altenstaufen

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Emploi : Présidente - Directrice générale de Quadra Electricity.

Tiziana Van Altenstaufen -  Vide
MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptyDim 31 Juil 2011 - 15:27

* Darde son regard de la vipère - pour survoler les deux jeunes femmes .. * Mlle Cassidy - votre place - n'est-elle point dans un asile ? Que faites vous ici, à par nous écumer de vos bouffées délirantes ? Mlle Crane devrait faire un chiffon à votre sujet à l'occasion - vous faites la paire ..

(Merciii Mesdemoiselles .. Un DC ? Je suis un tantinet Schizophrène - ça se pourrait ! Tiziana Van Altenstaufen -  643143 )
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Ania Demitryé
    Sirène de Sudri

Ania Demitryé

Date d'inscription : 27/08/2010
Messages : 2955
Localisation : Sudri

Emploi : Pute de luxe

Tiziana Van Altenstaufen -  Vide
MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptyDim 31 Juil 2011 - 15:31

Ania observe de loin la maitresse femme.
Voilà une personne qui n'a rien à apprendre de quiconque.
La putain se garde bien d'attirer l'attention sur elle et disparait dans les ombres de Sudri sans un mot de salutation. Voilà une femme à étudier.
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Invité
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MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptyVen 12 Aoû 2011 - 16:09

Bienvenue ^^
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Diane Ambrose
    Dame de Glace

Diane Ambrose

Date d'inscription : 23/01/2011
Messages : 1083
Localisation : Nordri

Emploi : Skaldi
Faculté : Une froideur à toute épreuve.

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MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  EmptyDim 21 Aoû 2011 - 0:03

D'une froideur à l'autre... soyez la bienvenue (il se pourrait que nous soyons en affaire un de ces quatre/quadra (jeu de mots) je vais me coucher !)
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MessageSujet: Re: Tiziana Van Altenstaufen -    Tiziana Van Altenstaufen -  Empty

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